le Groupe
du Geste
six axes
de travail
axe 2
ALIMENTATION &
AGRICULTURE
Parce que notre économie alimentaire n'est plus soutenable
Les impératifs environnementaux, climatiques et de santé publique, ainsi que la considération éthique de la question animale, nécessitent une transition alimentaire – l'évolution d’une alimentation carnée vers une alimentation végétale et non-transformée.
Il s’agit en quelque sorte d’un retour aux sources, vers nos vraies traditions, puisque le phénomène de l’industrialisation de la viande et de sa consommation massive ne datent que du 20ème siècle. Ce phénomène, et les décisions politiques qui l’ont accompagné, a créé des ravages dans les campagnes et a détruit le métier d’agriculteur.
L’agriculteur nourrit le monde, et il le fera toujours. Il mérite le respect, une vie digne et une activité rémunératrice.
Ainsi, nous devons enclencher une grande transition agricole, bien étudiée, encouragée et accompagnée. Tandis que les décisions politiques et le financement de l’élevage et de l’agriculture favorisent massivement le statu quo, nous devons concevoir et déployer les alternatives, pour démontrer leur faisabilité.
Aussi, nous devons replacer notre alimentation au cœur du débat - et de nos budgets. L'alimentation, c'est la source de la vie. Cependant, dans la recherche de la facilité et du toujours moins cher, la qualité nutritive de nos aliments a dramatiquement baissé, engendrant une alimentation fortement déséquilibrée. On mange des animaux malades et des plats transformés et toxiques.
La transition alimentaire, c'est bon pour les animaux et pour les humains.
Projets pour l'axe Alimentation & Agriculture...
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Recherches en matière des besoins nutritionnels
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Bilans économiques des exploitations agricoles
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Études de nouveaux modèles agricoles
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Conception des transitions nécessaires
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Mise en place de projets-pilotes…
Budget : € 2 millions
On connaît très mal les animaux d’élevage. Les chiens, les chats, les chevaux, ou encore la faune sauvage, font l’objet de nombreuses études comportementales et psychologiques. Mais, que comprend-on vraiment du ‘bien-être’ des 1,3 milliards d’animaux qui meurent dans les abattoirs ?
Au courant de leur courte vie - de machine à viande, de reproductrice, de pondeuse ou de machine à lait – que ressentent ces animaux d’élevage ? De quoi ont-ils vraiment besoin ? Comment vivent-ils la mort de leurs congénères ou le retrait de leurs bébés à la naissance ?
Quasiment toutes les études émanent de la recherche de l’intérêt productif de l’élevage. Dans ce calcul froid, pas de place pour la sensibilité de l’animal, ni sa souffrance, ni sa perception des humains.
Pour mieux comprendre l’animal d’élevage, il faut davantage étudier sa vie en situation de contrainte (en élevage) mais aussi sa vie en sanctuaire ou refuge, où on lui permet de vivre ses instincts, sa vie libre en troupeau et son nouveau rapport avec des hommes et des femmes ne cherchant que son épanouissement.
L’ensemble de cette approche animera la question des droits des animaux et contribuera à la sensibilisation du grand public.
Projets pour l'axe Biologie & Éthologie…
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Création de lieux d’accueil pour les chercheurs
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Financement de programmes de recherche
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Publication et diffusion des études…
Budget : € 500.000
Parce que le respect du vivant passe par la connaissance
axe 3
BIOLOGIE &
ÉTHOLOGIE
La loi reconnaît que "les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité." Or, cette réalité juridique n'empêche pas l'abandon de dizaines de milliers d'animaux, ni la cruauté exercée sur des milliers d'autres, généralement en toute impunité. Par ailleurs, le retrait d'un veau de sa mère vache laitière ou la détention d'animaux d'élevage dans des cages, sont des atteintes notoires et incontestables à la reconnaissance de leur sensibilité.
Les lois doivent évoluer, ainsi que les règlementations qui les mettent en œuvre. Il faut renforcer le cadre juridique et poursuivre les infractions, sans concession, ni complaisance.
Nombreux sont les juristes qui donnent de leur temps et qui s'engagent bénévolement pour obtenir justice pour les animaux. Ils ont besoin de moyens pour poursuivre leurs actions. Il leur faut également les moyens pour étudier davantage l'encadrement juridique et pour développer de nouveaux textes - aussi bien sur le plan règlementaire qu'au niveau législatif voire constitutionnel.
Il va de soi que cette démarche nécessite aussi que l'on donne plus de moyens aux tribunaux ainsi qu'aux forces de l'ordre pour pouvoir appliquer avec efficacité ce qui est défini par la loi. Pensons notamment à la formation des agents publics mais aussi aux structures nécessaires pour accueillir des animaux suite à une saisie.
Projets pour l'axe Justice & Législation…
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Etudes juridiques
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Développement de textes de loi et de règlements
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Financement de démarches en justice...
Budget : € 500.000
Parce que la protection du vivant passe par la loi et par l'application de ses droits
axe 4
JUSTICE &
LÉGISLATION
axe 5
POUVOIRS
PUBLICS
Les autorités publiques sont en ligne de front de l'évolution sociétale. Elles codifient et mettent en œuvre les règles qui guident la société vers l'avenir. Tout en étant obligées de s'occuper des urgences de tous les jours, les autorités doivent aussi exceller par leur vision du long terme.
Tous les politiques ne sont pas forcement sensibles à la question animale. Souvent, ils placent l'humain et ses intérêts au centre de leur préoccupations. Ils réfléchissent surtout aux conséquences immédiates de leurs décisions sur l'emploi et l'économie.
Cependant, si les animaux sont les premiers concernés, la question animale revêt aussi une importance primordiale pour les humains. La cause est étroitement connectée avec nos choix par rapport à la santé, la nutrition et les ressources naturelles. L'élevage industriel est un désastre pour l'alimentation, pour l'agriculture et pour l'environnement.
Dans l'intérêt de leurs concitoyens, les politiques doivent reconnaître, accepter et expliquer le lien étroit entre tous ces sujets de société.
La cause animale n’est pas une cause partisane. C’est la cause du vivant. Le Groupe du Geste appuiera des démarches auprès de l’Assemblée Nationale, des Conseils Régionaux, des Préfectures, ainsi que l'Europe… – sans égard à l’orientation politique des uns et des autres – pour encourager ceux qui influent et prennent les décisions de placer la cause animale et la transition agricole au cœur du débat.
Projets pour l'axe Pouvoirs Publics…
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Analyses de l’enjeu politique
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Démarches auprès des instances politiques nationales
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Suivi des autorités régionales et locales…
Budget : € 500.000
Parce que les élus et les autorités doivent se saisir des question sociétales
Dans une démocratie, le choix des règles de la vie en société, et de la moralité du respect du vivant, incombe à chaque citoyen, à titre personnel. C’est à chacun d’entre nous de décider si nous souhaitons (ou non) martyriser les animaux, de considérer (ou non) les animaux comme des êtres inférieurs, de consommer (ou non) les animaux en toute connaissance de cause de leur sensibilité, de l’importance de la biodiversité, des conséquences environnementales et climatiques, et de notre propre santé humaine.
Ne pensez pas à vos enfants. Ne pensez pas à l’avenir de cette planète. Ne pensez pas à la souffrance des animaux que nous consommons. En effet, vous pouvez ne penser qu’à vous et décider pour vous, sans égard pour ce qui suit.
En revanche, le Groupe du Geste s’engage à informer, à éduquer, à sensibiliser pour que la cause des animaux soit enfin respectée et prise en compte. Nous soutenons toute initiative et campagne qui mobilise les esprits des citoyens et qui pousse à l’évolution de nos comportements.
Nos vraies traditions, c’est l’alimentation végétale, sans viande, sans souffrance animale. Le monde a merveilleusement fonctionné comme ça pendant des millénaires. Il aura suffi d'un siècle pour le mettre en danger.
Projets pour l'axe Sensibilisation Citoyenne…
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Campagnes publicitaires
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Campagnes d’éducation alimentaire…
Budget : € 1.5 million
Parce que les choix de vie, d'avenir et de raison incombent à chaque citoyen
axe 6
SENSIBILISATION
CITOYENNE
Le Groupe du Geste a conçu un mécanisme qui permet à terme de distribuer €15 millions annuels minimum au profit de la cause animale. Environ €10 millions sont directement attribués aux associations et sanctuaires qui en feront l'usage qui leur convient.
Le Group disposera de €5 millions supplémentaires pour financer des projets spécifiques selon ses six axes de travail.
axe 1
SANCTUAIRES &
ASSOCIATIONS
Parce qu'offrir la vie à quelques rescapés, c'est tout un symbole
En France, quelques poignées de sanctuaires et de refuges s’efforcent au quotidien de sauver des animaux de ferme de la fatalité de l’élevage et de la maltraitance. Dans leurs structures, ils accueillent et soignent des centaines de rescapés pour leur offrir la vie qui ne leur était pas destinée.
On ne peut sauver les 1,3 milliards d’animaux qui meurent chaque année dans les abattoirs français - et ce n’est pas le but. En permettant à quelques animaux de vivre leur vie et de s’épanouir, les structures d'accueil sensibilisent le grand public au sort des autres moins chanceux. En observant les animaux dans des conditions sans contraintes, sans obligations, elles offrent un autre regard sur le rapport entre l’homme et l’animal. On y découvre pleinement leur sensibilité et leur aspiration naturelle à la vie et au bonheur.
En revanche, le quotidien des sanctuaires et refuges n’est pas simple. L’animal n’y étant plus un objet de rente, tout le travail et les dépenses incombent aux créateurs de ces lieux, aux bénévoles qui donnent de leur temps et à la bienveillance des donateurs généreux.
Les sanctuaires et refuges ont besoin de se développer. Ils sauvent des vies, ils incarnent le changement des mentalités.
Projets pour l'axe Sanctuaires & Associations…
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Financement durable des dépenses opérationnelles
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Actions de sensibilisation
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Soutien des équipes et de leur professionnalisation
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Mutualisation des ressources de sauvetage et de soin
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Aide à l’implantation et à l’extension des structures d’accueil...
Budget : € 10 millions
